Réponse à un certain blog
Sur un certain blog, je lis:
« je réitère mon appartenance au mouvement Gaulliste, n’en déplaise à certains héritiers du Stanilisme au du fascisme local qui ne voient dans l’avenir que destruction ».
Je tiens à faire savoir que je n’ai jamais connu de fasciste à Coudekerque Branche. L’auteur de ces lignes est trop jeune pour parler de ces périodes troubles de la guerre, en témoin qu’il n’était pas. Je n’ai pas connu non plus de stanilien. J’ai toujours travaillé avec des communistes coudekerquois parfaitement démocrates.
« Un vote ne s’achète plus avec une subvention ». Je tiens à vous faire savoir que les subventions ne sont pas le fait d’une personne mais résulte du vote d’un Conseil Municipal.
« Je veux, par mon élection, rendre aux coudekerquois, leur liberté de pensée ». Sachez que personne ne peut interdire à quiconque de penser!
Quant au terme « assistanat », je ne dirai rien du tout. Nous n’avons pas l’habitude de pratiquer l’assistanat à Coudekerque Branche, assistanat qu’on trouve peut-être à l’échelon national.
De plus, je ne parle pas de « masses populaires ». Je parle du peuple. Le peuple, ce n’est pas une masse.
Je tiens à faire savoir que je n’ai jamais connu de fasciste à Coudekerque Branche. L’auteur de ces lignes est trop jeune pour parler de ces périodes troubles de la guerre, en témoin qu’il n’était pas. Je n’ai pas connu non plus de stanilien. J’ai toujours travaillé avec des communistes coudekerquois parfaitement démocrates.
« Un vote ne s’achète plus avec une subvention ». Je tiens à vous faire savoir que les subventions ne sont pas le fait d’une personne mais résulte du vote d’un Conseil Municipal.
« Je veux, par mon élection, rendre aux coudekerquois, leur liberté de pensée ». Sachez que personne ne peut interdire à quiconque de penser!
Quant au terme « assistanat », je ne dirai rien du tout. Nous n’avons pas l’habitude de pratiquer l’assistanat à Coudekerque Branche, assistanat qu’on trouve peut-être à l’échelon national.
De plus, je ne parle pas de « masses populaires ». Je parle du peuple. Le peuple, ce n’est pas une masse.
Andre Delattre
