mardi 10 mars 2009

Concernant le centre d’appel

Il faut faire remarquer qu’en 1986 à la chute des coopérateurs de Flandres, l’ancienne municipalité a eu le réflexe d’acquérir les bâtiments qui n’avait rien d’industriel comme on a pu le dire à l’époque. Les locaux ont été loués à un privé qui les a restaurés car ils avaient été vandalisés. Il y a eu donc un retour dans les finances communales d’une partie des loyers perçues auprès du locataire qui fut également, au bout de la dixième année, l’acquéreur des locaux. C’est donc le propriétaire actuel qui a principalement traité avec ARVATO et c’est donc une affaire de privé à privé. Il n’y a que dans le processus d’implantation que le Président de la Communauté Urbaine de Dunkerque a mené cette affaire avec les privés en question et également par l’intermédiaire et le concours de Dunkerque promotion. En définitif, c’est la politique urbanistique de l’ancienne municipalité qui a permis de sauver ces murs.

Donnons quelques chiffres :

A l’époque les coopérateurs de France (et pas de Flandres) vendaient les locaux pour 1 milliard de centimes d’avant 1960, et l’ancienne municipalité les a acheté pour 400 000 francs, nous avions donc à l’époque fait une excellente affaire.

En conclusion, nous pouvons dire que le travail de l’ancienne municipalité a porté son fruit. Malheureusement, ce ne sont pas toujours ceux qui ont semé qui récoltent les fruits de leur labeur.